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Du cinéma de Serge Roullet

27 novembre 2012

Roullet par Michel Boujut "Serge Roullet est

Roullet par Michel Boujut "Serge Roullet est
Roullet par Michel Boujut "Serge Roullet est cinéaste, pas un «professionnel de la profession», mais un artiste éclairé porté par un style. (...) En rupture de classe , ce fils de bonne famille a épousé, par la pensée et dans l'action, les grands combats...
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27 novembre 2012

Quatre films de Serge Roullet en DVD Le coffret

Quatre films de Serge Roullet en DVD

coffret

Le coffret DVD "Révolte Liberté" aux éditions du Croit Vif, renfermant les quatre films majeurs de Serge Roullet, enrichis d'analyses extérieures et de textes de l'auteur.

27 novembre 2012

Avoue que tu mens (2008)

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"Ce film, où les acteurs jouent de manière distancée, délibérément décalée, souvent face caméra, est construit sur un labyrinthe d'ambiguïtés et de faux-fuyants, la forme l'emportant sur l'intrigue." D.F., le Canard enchaîné


 

27 novembre 2012

Le voyage étranger (1992)

Le Voyage Huma+

 

 

 

 

 

"Directement inspiré de la légende de saint Alexis, un beau film dépouillé et lumineux où circule une ferveur impressionnante et communicative." P.G., Le Figaro magazine

"Durant deux heures d'images divines, de lumières et de paysages élégiaques, on partage la quête de son étrange prophète de la justice." l'Express

"En des images éblouissantes, Roullet ressuscite la légende d'Alexis qui, nonobstant le mal, la persécution des faibles, l'impunité insolente des forts, n'a cure de la sainteté, harcelé qu'il semble par l'avertissement de l'Apôtre “si je n'ai pas la charité, tout cela ne me sert de rien." Pierre Klossowski


 

27 novembre 2012

Benito Cereno (1969)

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"Roullet se garde bien de répondre en clair. Il suspend toute interprétation trop nette, comme il arrête le jeu de ses comédiens en deçà du moment où il dirait trop. Il n'y a de place que pour l'essentiel... gestes d'autant plus chargés de sens qu'ils sont réduits, Ils nous envoûtent à notre tour." Jean-Louis Bory, le Nouvel Observateur

"A ce très haut niveau d'un cinéma conçu comme une véritable révélation, il n'est plus nécessaire de chercher de modèles, ni de références, l'homme qui le pratique est assez grand pour trouver seul sa voie." Guy Braucourt, Combat

"Nature extraordinaire de cette œuvre : vraie à son origine historique, vraie dans sa réalisation, vraie encore et surtout, mais d'une manière plus subtile, transposée, décalée dans son écriture et sa lecture... Rêvons-nous, lisons-nous en couleur?... l'Eastmancolor de Benito Cereno s'estompe au profit d'une luminosité autre, d'une vivacité différente : celle de la vie intérieure." Claude Mauriac, le Figaro littéraire


 

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27 novembre 2012

Le mur (1967)

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 "On a porté à l'écran quelques unes de mes œuvres mais je ne me suis jamais reconnu dans ces films ! Dans le vôtre, je me reconnais entièrement... Il en est résulté quelque chose qui passe mes espérances..." Jean-Paul Sartre

"Rigueur, achèvement, maîtrise de l'écriture... Par cette belle réussite, austère et désespérée, Roullet montre qu'on peut être un espoir à défaut d'en vivre." Gilles Jacob, les Nouvelles Littéraires

"Loin des lieux communs que pourraient induire cette situation, Roullet nous confronte avec rigueur, intransigeance, humanité, à la cruauté et à notre condition de mortels... Ce film est à voir absolument et l'on ne s'explique pas qu'il soit tombé dans un tel silence." Sophie Bonnet, les Inrockuptibles


 

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